Texte paru dans: / Appeared in:
*


Diapason # 679 (05 /2019)
Pour s'abonner / Subscription information


Resonus
RES10238




Code-barres / Barcode : 5060262791455

Appréciation d'ensemble:

Outil de traduction (Très approximatif)
Translator tool (Very approximate)
 

Analyste: Gaëtan Naulleau
 

Andrew Arthur ose (…) de merveilleux ralentis, très étirés, qui seraient sans doute poseurs s'ils n'étaient si bien sentis. Il nous ramène à une approche chorale, et prend son temps dans l'une des versions les plus longues de la discographie. L'effectif (une vingtaine de voix mixtes) n'est pour rien dans cette relative lenteur, qui ne pèse jamais. Le choeur n'a rien d'exceptionnel, le groupe instrumental est moins coloré que celui de Pierlot, mais ce n'est pas un problème. L'interprétation s'installe dans un espace de méditation, où l'éloquence la plus humble peut nous atteindre (l'accompagnement de quelques airs au théorbe seul est divin). L'une des sopranos n'a pas la grâce de l'autre, les trois voix d'hommes sont formidables - même cette basse au timbre un peu rude. La simplicité paie dans cette oeuvre facile et fragile, et même sur le long terme, quand elle est habitée.
 


Sélectionnez votre pays et votre devise en accédant au site de
Presto Classical
(Bouton en haut à droite)

Pour acheter l'album
ou le télécharger


To purchase the CD
or to download it

Choose your country and curency
when reaching
Presto Classical
(Upper right corner of the page)

   

Cliquez l'un ou l'autre bouton pour découvrir bien d'autres critiques de CD
 Click either button for many other reviews