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| Appréciation d'ensemble:
      
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     Outil de traduction (Très approximatif)  | 
    
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 Analyste: 
Loïc Chahine 
Quelques mois après
Benjamin Perrot, Florence Bolton et leur Rêveuse (cf. no 677), l'ensemble de 
Johannes Pramsohler explore à son tour le cosmopolitisme de la musique anglaise 
au temps de Purcell - du jeune Purcell, pour être précis. Les deux programmes 
partagent une Sonate en sol mineur de Draghi, où s'affirment leurs 
différences. Là où les premiers s'attachent aux ambiances et enrobent le tout 
dans un continuo soyeux, c'est des deux violons que part généralement le geste 
de l'Ensemble Diderot, qui met en avant les origines italiennes de ce 
répertoire. Ce qui ne l'empêche pas de se saisir avec brio du langage assez 
germanique d'une sonate en sol mineur de Diessener 
(façon Reincken) ou des danses de Keller - l'allemande et la 
courante sont bien envoyées, jouant de la complémentarité entre l'argent des 
dessus et l'assise dynamique de la basse d'archet.  | 
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