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| Appréciation d'ensemble:   | Outil de traduction (Très approximatif) | 
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Analyste:  
Philippe Venturini Comme attendu, la réalisation instrumentale de Zefiro, à un instrument par partie, est digne de sa réputation, récemment confirmée par une lecture réjouissante des Concertos brandebourgeois (Arcana, 2017, Classica n°210). Le hautbois d'Alfredo Bernardini se montre à la fois tendre et lyrique (BWV 82/1 et 5), le hautbois da caccia d'Emiliano Rodolfi discrètement voluptueux (BWV 82/3), l'ensemble finement coloré et installé sur des tempos propres à laisser s'épanouir la phrase comme la musique. En revanche, Dominik Wörner a perdu de sa superbe et ne peut dissimuler des problèmes manifestes de justesse (BWV 158/2) et de tenue de souffle (BWV 56/1). Un disque pour rien. | |
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