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Appréciation d'ensemble:
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Outil de traduction (Très approximatif) |
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Analyste:
Loïc Chahine La Galerie dorée de l'Hôtel de Toulouse, à Paris, aujourd'hui propriété de la Banque de France, sert de cadre à une espèce de concert pot-pourri, dont les oeuvres ont en commun d'être brèves (la plus vaste dure 6'29") et d'évoquer, parait-il, sa luxueuse décoration. Avec un succès inégal (du joli menuet de la Symphonie « Le Soir » de Haydn à des Voix humaines de Marin Marais apathiques et abîmées par leur transcription), le programme fait une large place aux tubes en y adjoignant quelques raretés : la Marche pour la cérémonie des Turcs de Lully croise un mouvement de quatuor de Félicien David, en passant par Vivaldi, Mozart et Couperin. Tout cela n'est guère très cohérent et ressemble surtout à une compilation « à la découverte de »... on ne sait trop quoi, d'ailleurs. Et si le début du « Matin » de Haydn illustre bien le tableau Le Point du jour d'après François Perrier, choisir le victorieux « Da tempeste » de Handel pour La Mort de Cléopâtre relève du contresens - l'orchestre n'y brille pas plus qu'une Jodie Devos ici scolaire. Ladite Galerie dorée a beau être somptueuse, on l'aperçoit plus qu'on ne l'admire - le livret du DVD est heureusement orné de photographies assorties ce commentaires. Celles des artistes devaient-elles nécessaire-ment occuper la moitié de l'espace, au détriment de la décoration héroïne véritable de ce projet? |
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