Texte paru dans: / Appeared in: |
|
Appréciation d'ensemble:
![]() ![]() ![]() |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Paul de Louit Vikingur Olafsson architecture un programme habile autour de l’Aria variata BWV 989, alternant pièces originales (inventions, sinfonias, préludes ou fantaises et fugues) et transcriptions signées Kempff, Busoni, Stradal, Rachmaninov, Siloti et lui-même. Il a le sens de la conversation polyphonique et anime par les accents des voix qu'il fait jouer à cachecache avec une indéniable virtuosité. La montée en puissance de la Fugue en la mineur BVW 904 impressionne. Le Concerto BVW 974 d'après Marcello, en revanche, est un drôle d'oiseau. Si les transcriptions sont plongées dans un généreux bain de pédale (sauf un Nun freut euch aux allures de TGV), dans les pièces originales, la motorique un peu sèche, appuyée d'un staccato obsessionnel, finit par lasser. N'est pas Gould qui veut... |
Cliquez l'un ou l'autre
bouton pour découvrir bien d'autres critiques de CD
Click either button for many other reviews