LUX FEMINAE
900-1600
Monstserrat Figueras

 


Alia Vox AVSA9847
Code-barres/Barcode
7619986398471

Super Audio CD






 


Description

Artistes / Performers :
Montserrat Figueras et ses amis / and friends

Lieu d'enregistrement / Recording site: Église de Franc-Waret (Belgique/Belgium) + Abbaye de Fontfroide (France)

Date d'enregistrement:08/2005 

Recording date: 08/2005

Durée totale / Total time: 70'53"




 

Montserra Figueras et ses amis / and friends
Tina Aagaard, Arianna Savall, sopranos
Begoňa Olavide mezzosoprano & psalterium , Laurence Bonnal, contralto
Pierre Hamon, flûtes/flutes - Andrew Lawrence King,  harpe/harp
Rolf Lislevand, guitare/guitar - Driss El Maloumi, oud
Jordi Savall, lira d'arc, rebab, violes de gambe/violas (soprano & basse)
Fahmi Alqhai, Friederike Heumann, viole de gambe (basse) - bass viol
Pedro Estevan, Marc Clos, Carlo Rizzo,  percussions

 

Évaluations recensées / Reviews located

Dans cet enregistrement unique en son genre, Montserrat Figueras, en sept portraits couvrant sept siècles (900-1600), rend hommage à la femme en partant de ses sept aspects dans l’ancienne Hespérie, tout au long d’un voyage intérieur qu’elle présente en ces termes : « Lux Feminae est une « agora » musicale, un espace où, à partir de la musique, est invoquée la féminité : son message, sa force, sa souffrance, sa sacralité, sa lumière. Il s’agit de musiques et de textes concernant temporellement le Moyen Âge et la Renaissance, qui ont pour protagonistes des femmes appartenant au monde culturel hispanique qu’il soit de tradition chrétienne, juive ou musulmane, et qui montrent les différentes facettes du mythe riche et profond de l’univers féminin. Qu’elle soit auteur, sujet d’inspiration ou destinataire, la femme enrichit un patrimoine musical dont le parcours va du Chant de la Sybille, des jarchas, des poèmes arabo-andalous et des Cantigas d’Amigo jusqu’aux poèmes mystiques de Sainte-Thérèse de Jésus, aux berceuses populaires, aux saetas et aux romances séfarades.»     Ce disque permet de nous transporter hors du temps, de nous recueillir, de nous retrouver dans un monde de spiritualité, de mystère, d’harmonie, de méditation et de plénitude, d’intimisme et de lumière, où la femme est constamment sublimée. Montserrat Figueras a puisé dans le riche patrimoine musical de ces siècles pour illustrer les sept portraits de femmes (Femme antique, Femme nouvelle, Femme ludique, Femme mystique, Femme amante, Femme mère, Femme éplorée).

Source: Site Alia Vox

Lux Feminae is a homage to the light of Woman. Having sung of that light for so long through music and poetry, I naturally became aware that it has not always been free to shine. Lux Feminae is also a story with music about women and an invocation to femininity, as the key to the spiritual world. Lux Feminae focuses on seven aspects of woman in ancient Hesperia, from the Middle Ages to the Renaissance. Seven is a sacred number that has been revered by sages and mystics through the ages: it is the union of 4 (the four elements, the four colours from which all the colours in the artist’s palette are made...) and 3 (the Trinity, the Pyramid...), symbolising the union of all things both spiritual and earthly, a union which is also embodied in the figure of woman. Seven is the number of the climes, the seas, the heavens and the days of Creation; this sacred dimension is also found in music and poetry and, indeed, in ourselves, since we have the capacity to make sacred or profound everything that we experience and do. Over and above sacred music, there is a sacred way of making music.
Lux Feminae represents an interval of intimacy, the description of a delicate, secluded space which must be protected, an inner garden at the centre of which we find the anima, light, Beauty. The manner of singing, therefore, also draws on that intimacy, while also incorporating strength, rhythm, dance and the dramatic power of words. The different traditions of Christianity, Judaism and Islam have all felt the need to express that intimacy through the same symbolism: the inner garden, the cloister, the castle of interior mansions as spaces of quietude, knowledge and meditation.
Lux Feminae is a celebratory disc because the best approach to life is to celebrate everything and take time to celebrate. It is a hymn to the place of woman through history, focusing on her aspects of light: mysticism, sensuality, motherhood, love, lament, rejoicing and wisdom. Women sing the story of humanity, celebrating the beauty and possibility of being sweet as honeycomb on the tongue; celebrating mystical love, the fruitful womb and the tender breast that nurtures God; celebrating the experience of giving birth, of motherhood and nursing a child; the gift and duty of transmitting life, teaching and being teachers of life; celebrating the experience of joy, even in the midst of grief and loss. All the protagonists of the poems and songs in Lux Feminae embody and bear witness to that light.

Montserrat Figueras


Reference: Alia Vox web site



10/2006

See below


# 537 (06/2006)
Voir ci-dessous


 # 83 (06/2006)
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30:2 (11/12 - 2006)
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Opus Haute Définition
(11/07/2006)

 


Par Alexandre Pham (04/2006)


par: Edouard Bailly
 

(06/2006)

Par: Matthias Lange


Montserrat Figueras (1942-2011)


Montserrat Figueras (1942-2011)


Extrait du livret / From the liner notes

O Lux

Lux Feminae
est un hommage à la lumière de la Femme et, tout naturellement, après l’avoir chantée aussi longtemps en musique et en poésie, il m’est apparu évident qu’elle n’a pas pu toujours briller. Lux Feminae est aussi une histoire en musique sur la femme, puisque c’est elle qui nous permet d’accéder au monde spirituel. Lux Feminae part de sept aspects de la femme de l’ancienne Hespérie, entre le Moyen- âge et la Renaissance. Le 7 est un numéro sacré estimé des sages et des mystiques de toutes les époques : c’est l’union du 4 (les quatre éléments, les quatre couleurs à partir desquelles on obtient toute la palet te de l’Art...) et du 3 (la Trinité, la Pyramide...), qui symbolisent l’union de toutes les choses de l’esprit et de la terre, union incarnée également dans la figure de la femme. Sept sont les climats, les mers, les cieux, les jours de la création... mais le caractère sacré du sept est également présent dans la musique, dans la poésie, ainsi qu’en nous-mêmes, qui pouvons sacraliser ou donner de la profondeur à ce que nous vivons et à ce que nous faisons Au delà de la musique sacrée, il y a une forme sacrée de faire de la musique.

Lux Feminae est un instant d’intimité, la description d’un délicat espace intramuros, que l’on doit protéger, d’un jardin intérieur au centre duquel se trouve l’âme, la lumière, la Beauté. C’est pour cette raison que la façon de chanter se nourrit, elle aussi, de cette intimité, sans pour autant rien céder de la force, du rythme, de la danse et du dramatisme des mots. Les diverses traditions chrétienne, juive et musulmane ont ressenti le besoin d’exprimer cette intimité à partir d’une même symbolique le jardin intérieur, le cloître, le château des 7 Demeures, en tant qu’espaces de recueil, de connaissance et de méditation.

Lux Feminae est un disque de célébration, car la meilleure manière de vivre est de tout célébrer et de s’accorder le loisir nécessaire pour le faire. Il chante la situation de la femme dans l’histoire, à partir de ses aspects lumineux : les aspects mystique, sensuel, maternel, amoureux, ainsi que ceux de la plainte, de l’enjouement et de la sagesse. Les femmes chantent l’histoire de l’humanité et célèbrent la beauté et la possibilité d’être gâteau de miel pour le palais, elles célèbrent l’amour mystique, d’avoir le ventre enceint et la poitrine heureuse de Dieu, elles célèbrent l’expérience d’enfanter, et d’être mère et nourriture, le don et le devoir de transmettre et d’enseigner, et d’être maîtresses de vie, elles célèbrent la joie vécue même dans la perte et la douleur. Toutes les héroïnes des poèmes et des chansons de Lux Feminae en témoignent et sont lumière.

Montserrat Figueras

O Lux

Lux Feminae
is a homage to the light of Woman. Having sung of that light for so long through music and poetry, I naturally became aware that it has not always been free to shine. Lux Feminae is also a story with music about women and an invocation to femininity as the key to the spiritual world. Lux Feminae focuses on seven aspects of woman in ancient Hesperia, from the Middle Ages to the Renaissance. Seven is a sacred number that bas been revered by sages and mystics through the ages: it is the union of 4 (the four elements, the four colours from which all the colours in the artist’s palette are made...) and 3 (the Trinity, the Pyramid...), symbolising the union of all things both spiritual and earthly, a union which is also embodied in the figure of woman. Seven is the number of the climes, the seas, the heavens and the days of Creation; this sacred dimension is also found in music and poetry and, indeed, in ourselves, since we have the capacity to make sacred or profound everything that we experience and do. Over and above sacred music, there is a sacred way of making music.
Lux Feminae represents an interval of intimacy, the description of a delicate, secluded space which must be protected, an inner garden at the centre of which we find the anima, light, Beauty. The manner of singing, therefore, also draws on that intimacy, while also incorporating strength, rhythm, dance and the dramatic power of words. The different traditions of Christianity, Judaism and Islam have all felt the need to express that intimacy through the same symbolism: the inner garden, the cloister, the castle of interior mansions as spaces of quietude, knowledge and meditation.

Lux Feminae is a celebratory disc because the best approach to life is to celebrate everything and take time to celebrate. It is a hymn to the place of woman through history, focusing on her aspects of light: mysticism, sensuality, motherhood, love, lament, rejoicing and wisdom. Women sing the story of humanity, celebrating the beauty and possibility of being sweet as honeycomb on the tongue; celebrating mystical love, the fruitful womb and the tender breast that nurtures God; celebrating the experience of giving birth, of motherhood and nursing a child; the gift and duty of transmitting life, teaching and being teachers of life; celebrating the experience of joy, even in the midst of grief and loss. All the protagonists of the poems and songs in Lux Feminae embody and bear witness to that light.

Montserrat Figueras

 

 


 

Gramophone- 
(10/2006)

GRAMOPHONE
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Reviewer: Mary Berry

Monserrat Figueras has made a huge and unexpected contribution to our enjoyment and understanding of early music. Here, on her 67th recording, the theme of femininity is explored and analysed under seven headings: Antiquity, Middle Ages, the joyful, playful Maiden, the Mystic (Teresa of Avila), the Lover, the Mother and the Sorrowful Dolorosa.

IfI label the end product magnificent, i t might be an understatement. The lavish booklet alone runs to 160 pages, with analyses by the singer as weU as fulJ texts and translations. On every second page there is a colour reproduction of a masterpiece by such artists as Perugino, Caravaggio, da Vinci and Michelangelo.

But what of the music? Splendidly recorded, Figueras and a small group of discreet instrumentalists (flutes, plucked and bowed strings, rebab, harp and percussion) demonstrate aspects of femininity from a rich repertoire of Spanish music.

Figueras is in her element. She can be dramatic or passionate, facetious or sorrowful; a young girl who wants her freedom and is onJy restrained with difficuJty; and a saintly souJ in a mystical union with God. I enjoyed Autxo txikia negarrez, the picture of mum cooking eggs and pancake for herself and her baby while dad gambles in the pub. Then, in a quite different vein, there is Ondas do mar where the loved one longs for her absent lover, speaking to the waves on the incoming tide. This is most beautifuJJy sung in a highJy ornamental style. Figueras's versatility is remarkable. Highly recommended.

Analyste: Mary Berry

Mary Berry souligne la contribution remarquable de Montserrat Figueras à notre appréciation et à notre compréhension de la musique ancienne.
Selon elle, il s'agit ici de la 67ième participation de la soprano à un enregistrement.
À propos de "Lux Feminae", Mary Berry est des plus élogieuse.
Elle écrit: "Figueras est dans son élément. Elle peut être dramatique ou passionnée, facétieuse ou affligée; paraître comme une jeune fille souhaitant s'affranchir et que l'on contrôle difficilement; et être une âme sainte en complète union mystique avec Dieu".
"La versatilité de Figueras est remarquable. Un disque fortement recommandé".
Diapason- 537 (06/2006)


 

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Analyste: Roger Tellart

« Par-delà le domaine de la musique sacrée, il existe aussi une manière sacrée de faire de la musique «. La phrase de Montserrat Figueras résume avec une belle simplicité la portée de cet album, hommage fondamental à la femme, perçue comme une médiatrice majeure entre les choses du spirituel et de la terre. Dans ce travail sur un vaste passé, le chant de Montserrat Figueras est un fil conducteur qui tourne au geste liturgique, à travers sept visages (ou stations) privilégiés de la condition féminine dans l’ancienne Hespérie (seule entorse à cet environnement hispanique, le témoignage troubadouresque de la Comtesse de Die).

La reconstitution minutieuse d’un son « d’époque «y importe moins que le feu d’une émotion intérieure. Et c’est à la chaleur de cette émotion qu’il faut juger une interprétation qui se fait épure, vision émergeant de la nuit des âges. Sans doute, ce chant amplement modulé ne se mesure-t-il pas à l’aune des critères musicologiques habituels, la soliste étant le plus souvent mue par un désir de transcendance qui tend à s’opposer au déterminisme de plus d’une exhumation à la mode (la Canso occitane de Béatrice de Die dont Montserrat, soutenue par la seule lira d’arc de Jordi Savall, fait quasiment une image de vitrail). Cette attitude n’est nullement incompatible avec le dramatisme de l’impressionnante Sibila latina de la plage 2, qui prophétise le retour du Christ à la fin des temps et où, parmi d’autres, le timbre fervent d’Arianna Savall entretient une vraie complicité avec la voix maternelle. Au-delà, on applaudira pareillement aux affinités que le charisme de « Monsé » suscite au sein du concert ami qui l’accompagne, chacun(e) vibrant au diapason d’un chant qui se fait confession ou incantation, et partout miroir des mouvements de l’âme.

Reviewer: Roger Tellart
Abridged version :

"Beyond the domain of sacred music, there exists also a sacred way of making music". This sentence is an evident summary of this album which pays a fundamental tribute to image of woman, perceived as a major mediator between wordly things and the spiritual".
Figueras' interpretation has to be judged according to the warmth of her emotion, of a vision stemming from ancient times.

Classica- # 83 (06/2006)


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Analyste: François Camper
 

Lux Feminae ! Comment traduire au mieux  l’expression? Femmes de lumière! Peut-être.

C’est en tout cas ce qui me vient immédiatement à l’esprit. Féminité aux multiples visages mais tous marqués de cette lumière qui illumine autant l’amante que la mystique, ou la mère attentive.

Et qui peut, mieux que la voix de Montserrat Figueras, révéler ces visages si différents? Oh, sans doute pourra-t-on objecter qu’elle n’est pas la seule à transcender le répertoire ancien d’une voix aussi rayonnante. Que d’autres jeunes artistes s’installent avec talent à ses côtés. Mais, non, écoutez cet enregistrement et vous comprendrez très vite que seule Montserrat Figueras  avait la stature pour rendre de la meilleure façon cet hommage vibrant à la féminité.

Le répertoire est celui que la chanteuse parcourt depuis des années et qu’elle a fortement marqué de sa personnalité. Un répertoire qui, dans un environnement culturel espagnol avec ses traditions chrétiennes, juives et musulmanes, entre Moyen Age et Renaissance, chante la femme. Qui semble lui appartenir en propre et qui, en même temps la représente pleinement forte et douce à la fois! Un répertoire quelle a, aussi, approfondi au fil des années et qui apparaît comme abouti. Une féminité accomplie, épanouie.

Les sept portraits – sept, chiffre mystique et sacré! – que Montserrat Figueras propose nous font entrer à chaque fois dans un jardin aux délicates couleurs mais construit, travaillé, modelé par une pensée forte qui lui donne un incomparable éclat. Des poèmes mystiques de Sainte Thérèse aux berceuses populaires, des chants d’amour de Béatriz de Die aux plaintives saeta, l’exploration du cœur féminin, est un enchantement. Portée par un ensemble instrumental où l’on retrouve les compagnons et amis de toujours (Jordi Savall, bien évidemment, mais aussi Pedro Estevan le percussionniste inspiré, Rolf Lislevand, Andrew Lawrence King, Pierre Hamon...), accompagnée à l’occasion par les voix d’Arianna Savall, Tina Aagaard, Begonia Olavide et Laurence Bonnal, Montserrat Figueras rayonne ici véritablement

 

Classica- # 84 (07-08/2006)

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Discophage : les meilleurs

Chroniqueur: Philippe van den Bosch

Quelle merveille de beauté de timbre! La voix de Montserrat Figueras se déploie avec une chaleur et une épaisseur incroyables, parfois soutenue par quatre autres chanteuses, tandis que quelques notes de psaltérion ou de guitare résonnent longuement dans la réverbération d’une vaste église. Tout cela semble plus beau que réaliste, et peu naturel : les voix paraissent souvent trop proches des micros. Qu’importe, tellement c’est envoûtant! Plage 12 par exemple, la voix de Montserrat Figueras seule, juste accompagnée par la viole de gambe de Jordi Savall, s’élève, toujours sublime, mais avec davantage de pureté et de simplicité.
 



30:2 (11/12 - 2006)

Appréciation 
~~~~~
Evaluation
"Buy this and you will treasure it".

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Analyste: J. F. Weber

This collection of mostly unfamiliar music from 900 to 1600 forms an homage to womanhood, femininity, sung by one of the most captivating early-music singers on disc. The ensemble, though made up of familiar personnel including her husband Jordi Savall, her daughter Arianna, Pierre Hamon, and Andrew Lawrence-King, is not credited as Hespèrion XXI. The program is framed by
Flavit Auster, a sequence in honor of the Blessed Virgin from Codex Las Huelgas that begins and ends the program. Other women honored are the Sibyl in an abridged rendition of the first Cant de la sibilla that Figueras recorded, and Beatriz de Dia, the first trobairitz. Sacred and profane music follow in succession, with a Cárceres villancico about a wife inviting another man to come in followed by a mystical poem of the Carmelite St. Teresa set as a contrafactum to an unknown melody. A kind of philosophical cast is thrown over the program by notes that divide the songs among seven aspects of womanhood.

Figueras is a supreme artist. The performances are uniformly first-rate, and the surround sound is palpable. The packaging is exactly like two recent Orlando Consort issues, a bound CD-size book of 172 pages, lavish with color printing; texts with six sets of notes and translations; and all the necessary documentation. The total product could not be done better. Buy this and you will treasure it.

 

Autres références disponibles via la base de données de Todd McComb/ Other available references  via Todd McComb's database:
(Site: http://www.medieval.org)
Re: Lux Feminae

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Date de création de cette fiche: 08/09/2011
Dernière mise à jour de cette fiche:
2022-01-26



This page was first published on:
09/08/2011
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